La compagnie BPM est une compagnie de théâtre de création qui trouve son inspiration dans le croisement entre son, mouvement et texte. Elle a été créée en 2019 par des artistes sortants tout juste de l’école internationale de théâtre Jacques Lecoq.
La compagnie BPM est une compagnie de théâtre de création qui trouve son inspiration dans le croisement entre son, mouvement et texte. Elle a été créée en 2019 par des artistes sortants tout juste de l’école internationale de théâtre Jacques Lecoq.
Un spectacle virtuose mêlant théâtre, mime et bruitage ! Ils sont cinq et se sont rencontrés à l’école internationale de théâtre Jacques Lecoq, l’une des plus prestigieuses écoles du monde. Cinq jeunes comédiens formés à l’art du mouvement, du chant, du mime, du bruitage. D’une inventivité folle, ils nous racontent ici avec humour et poésie les aventures de Frantz, un jeune employé que la perte d’un être cher va complètement chambouler. Créant des atmosphères sonores saisissantes, ces artistes nous transportent dans une histoire sensorielle pleine de délicatesse et de malice.
Paul Ménage, Louis Kientz (reprise de rôle par Marc Granier à partir d’octobre 2022), Chloé Louis, Clara Lloret Parra, Samy Morri.
Ecriture et mise-en-scène : Marc Granier
Création lumières : Johannes Johnström
Régie lumières : Camille Monchy
Création costumes : Malou Galinou
Durée : 1h15
A partir de 10 ans
Avec le soutien de : l'Espace Sorano, le théâtre des Déchargeurs, le CPA Ruth Bader Ginsburg, la Scala Provence et les festivals Court mais pas vite et Mises en capsules.
Podcast disponible également sur Radio Campus Paris et Apple Podcasts.
Une création haletante qui entremêle humour, absurde et tragique avec un style inédit, porté seulement par les corps en mouvement et le chant polyphonique. Jouant avec leurs atouts de comédiens physiques et leur talent de chanteurs-conteurs, les artistes de la cie BPM nous font voyager avec malice d'une scène de supermarché à un cauchemar, d'un chœur tragique aux pubs de la télévision, d'un chant d'oiseau à hit radio. Ils nous racontent l’histoire poignante d’Ana, une jeune femme soudain foudroyée par un destin inattendu. Lui reste cette question brûlante : "Comment donner sens au temps qu'il nous reste ?" En attendant, Ana fait des insomnies.
Ivet Sanz Vicente, Samy Morri, Suel Lee, Johannes Johnström, Chloé Louis.
Ecriture et mise-en-scène : Marc Granier
Direction musicale : Paul Ménage
Durée : 1h15
A partir de 11 ans
Avec le soutien de : « Au 40 » Tiers-lieu Culturel, le Théâtre des Déchargeurs, La Curie, l'Espace Sorano, La Scala Paris.
Comme acronyme, BPM signifie « battement par minute ». Il peut s'agir tout autant d'une unité de mesure musicale que cardiaque. Ce nom reflète notre projet de compagnie à tous les niveaux. Il est pour nous comme une poupée gigogne qui en s'ouvrant découvrirait toujours plus intimement notre volonté. Si l'on faisait ici ce chemin, voilà ce qu'on pourrait y trouver :
- BPM - Tempo : Nos créations reposent sur un trépied esthétique qu'est l'alliance entre mouvement, son et texte. Aucun d'entre eux n'est vassalisé par rapport aux autres, les trois s'entremêlent pour donner des formes artistiques qui soient signifiantes dans leur ensemble. Le mouvement, le son et le texte sont soumis – comme toute chose sur cette terre – à un certain tempo. En jouant à l'alchimiste avec ces éléments, nous essayons de faire ressortir une pulsation commune qui unisse celles et ceux qui la reçoivent le temps d'une représentation théâtrale ; et, qui sait, peut-être au-delà.
- BPM – Organicité : Le battement cardiaque est une image qui nous est chère. Que l'existence viennent et tiennent par un cœur qui décide de battre est magique et fascinant. Nous croyons fermement qu'aucune machine ne pourra jamais transmettre l'émotion que transmet un être humain. Pour cette raison, les comédiennes et comédiens sont au centre de tout et priment sur la technique. Leur jeu s'en trouve démultiplié puisqu'ils interprètent non seulement les personnages mais aussi chantent et bougent pour donner à voir les atmosphères, les lieux, les abstractions, etc. Ils assurent l'intégralité de la fiction. Une forme de dénuement nous semble essentiel pour provoquer la créativité et embarquer le public plutôt que de lui en imposer par le spectaculaire de la technique.
- BPM – Création : Qui dit battement cardiaque dit perpétuel renouveau. La pulsation qui suit est semblable à la précédente dans sa simplicité. Elle repart à zéro et rend l'instant exceptionnel. A cette image, nous pratiquons un théâtre de création. Nous voulons donner vie à de nouvelles histoires que nous enracinons dans des contextes actuels. Il nous importe de faire émerger la poésie dans le monde qui nous entoure en tant que force de créativité, de lucidité et d'enthousiasme. Une fois la poésie retrouvée, nous pensons qu'il est possible d'enflammer les imaginaires et de réellement poser la question « comment vivre ? » dans toutes ses ramifications possibles.
- BPM – Harmonie : Finalement, chacun des points que nous évoquons tourne autour de la notion de lien. Nous envisageons l'instant théâtral comme la réunion d'êtres humains qui partagent une histoire et une vibration. Nous aimons le théâtre quand il débute humblement – rien dans les mains, rien dans les poches – et qu'il rassemble comme une fête qui éveille les esprits.
La compagnie BPM.
« Un théâtre d’art ou de poésie […] du grand petit théâtre modeste
et bricoleur. »
- J.B Corteggiani, à propos de la cie BPM.
Durant cet atelier, nous improvisons des situations essentiellement à l'aide du mime et nous utilisons des objets du quotidien pour les bruiter.
Ce type de théâtre - qu'on pourrait appeler "mime bruité" - permet de développer une écoute active des sons qui nous entourent mais aussi de voir comment notre corps réagit lorsque quelqu'un propose un bruitage !
Fort de cette approche très sensorielle, nous découvrirons qu'au
théâtre, le son le plus juste n’est pas nécessairement le plus
réaliste : il y a mille manières de bruiter un personnage qui boit un
café. Ajouter une nuance de rythme, de timbre ou le transposer
complètement permet de raconter non seulement l’action mais aussi
l’état, les pensées ou encore le contexte dans lequel se trouve le
personnage.
Très vite, en faisant dialoguer les bruitages et le théâtre,
l'imaginaire décolle et une poésie peut émerger.
NB : Les participants sont invités à apporter des objets qui leur appartiennent et dont le son les amuse ou leur semble être intéressant.
Contactez-nous pour recevoir un devis et le déroulé détaillé.
L'objectif de cet atelier est de faire travailler l’interprétation des élèves instrumentistes en faisant dialoguer mouvement et musique.
L’idée est de trouver une compréhension organique des morceaux, de leur dynamique en passant parle corps et en faisant travailler le désir de l’élève (pourquoi ce choix ?) et son imaginaire (comment mettre en espace l’interprétation ?).
De là découle également l’aisance scénique. Ce travail se fait conjointement avec les professeurs.
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Comédien
Administratrice · RP
Directeur artistique
Costumière
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